SANTANDER, 29 juillet. (EUROPA PRESS) –
Le ministre des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération, José Manuel Albares, a assuré que « tout ce bruit » généré par « une minorité » autour de l'éventuelle déclaration comme témoin du président du gouvernement, Pedro Sánchez, » cela ne détournera pas d'un iota le travail de ce gouvernement pour continuer à avancer et pour que l'Espagne continue à progresser.
Albares l'a souligné aujourd'hui aux questions de la presse de Santander, à l'Université Internationale Menéndez Pelayo (UIMP), sur l'éventuelle déclaration du président ce mardi pour laquelle le juge d'instruction de Begoña Gómez, Juan Carlos Peinado, serait transféré à Moncloa, même si le procureur Le bureau a fait appel de la convocation pour la deuxième fois.
« L'ensemble du gouvernement est derrière le président et nous lui exprimons notre soutien et notre totale solidarité en ce moment », a souligné le chef des Affaires étrangères, pour qui tout ce qui entoure l'enquête sur l'épouse du président est du « bruit ».
Pour Albares, « tout ce bruit, et surtout ceux qui sont une minorité mais qui veulent transformer ce bruit en quelque chose dans lequel personne ne peut rien entendre, rien comprendre, croire en rien…, ne vont pas détourner d'un seul coup le travail de ce gouvernement ».
Une tâche qui, a-t-il souligné, vise à ce que « l'Espagne continue à progresser, à maintenir le niveau d'emploi et à gérer l'économie, et à ce que la voix de l'Espagne continue à être entendue, comme elle l'est actuellement dans le monde ».
Ainsi, il a souligné que le gouvernement « œuvre en faveur de la gestion des intérêts du peuple espagnol, de la voix de l'Espagne et du progrès économique » et, en réponse à cela, certains « veulent que ce bruit devienne assourdissant pour que « personne n'entende rien, pour que personne ne puisse rien expliquer, pour qu'au final personne ne croie à rien ».
« Et ce sont des dégâts que, bien sûr, nous n'allons pas permettre, et ils ne vont pas nous détourner de notre travail en tant que gouvernement », a conclu Albares.