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BRUXELLES, 13 novembre (EUROPA PRESS) –
Le haut représentant de l’Union européenne pour la politique étrangère, Josep Borrell, a proposé lundi aux Vingt-Sept un plan pour un cadre européen sur l’avenir de Gaza, qui implique d’être uni au reste de la Palestine, sans personnes déplacées et sans Israéliens. profession.
Lors d’une conférence de presse après la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’UE, le chef de la diplomatie communautaire a défendu que l’Europe présente certains « paramètres » pour faire avancer la solution de paix au Moyen-Orient et a assuré que les États membres avaient soutenu son approche.
Selon Borrell, l’avenir de Gaza doit être qu’il n’y ait pas d’expulsion de Palestiniens, que son territoire ne puisse pas être réduit ou qu’il y ait une nouvelle occupation israélienne, et que l’enclave doit faire partie de la solution au problème de la Palestine et ne pas être dissociée. de l’état éventuel. .
Le Haut Représentant a déclaré qu’il doit y avoir des dirigeants palestiniens à Gaza dotés d’une « légitimité définie et décidée par le Conseil de sécurité de l’ONU » et « fermement soutenue » par la communauté internationale.

Ainsi, il a opté pour l’implication des États arabes dans l’avenir de la Palestine ainsi que de l’UE et de la communauté internationale pour stabiliser Gaza. « Il n’y aura pas de solution sans un engagement fort des Etats arabes, qui ne peut être seulement financier », a-t-il indiqué à propos des pays de la région.
Concernant l’UE, il a reconnu que le bloc « a été trop absent », en « déléguant » aux Etats-Unis. C’est pour cette raison qu’il a demandé de « s’engager davantage » et de mettre fin au cycle de violence au Moyen-Orient.
Borrell adoptera cette approche lors de sa tournée dans la région cette semaine : Israël, Palestine, Bahreïn, Arabie Saoudite, Qatar et Jordanie pour discuter de la guerre à Gaza et de l’accès humanitaire à la bande avec les pays de la région. Le plan de l’UE est de promouvoir un plan qui, même si Bruxelles reconnaît qu’il est difficile pour le bloc de le mettre en œuvre seul, peut obtenir le soutien des pays arabes et des États-Unis.