PALMA, 29 octobre (EUROPA PRESS) –
MÉS per sa Pobla a enregistré une motion visant à promouvoir la sensibilisation, l'élimination et l'élimination des matériaux contenant de l'amiante de la municipalité, dans le but de protéger la santé des citoyens et de respecter les termes établis par l'Union européenne et la législation de l'État pour l'élimination de cette substance hautement dangereuse.
Comme le rappelle le MÉS dans un communiqué, l'amiante est interdite depuis 2002 par l'OMS comme cancérigène majeur. Malgré cela, ils assurent que sa présence est significative dans de nombreux bâtiments, notamment dans les toitures en fibrociment.
Du MÉS, ils ont rappelé que la loi 7/2022 sur les déchets et les sols contaminés oblige les municipalités à préparer un recensement des installations contenant de l'amiante et à établir des plans pour son élimination, une exigence qui devrait déjà être en vigueur depuis avril 2023.
Le principal obstacle reste le coût économique que cela implique pour les entreprises. C'est pour cette raison que les militants de l'éco-souveraineté ont exhorté le gouvernement à établir des lignes d'aide d'urgence qui leur permettront de faire face à ces dépenses, tant dans les bâtiments et infrastructures publics que privés.
La motion propose également que la Mairie de Sa Pobla collabore activement à la préparation et à la mise à jour du recensement des installations contenant de l'amiante dans la municipalité, en collaboration avec le recensement numérique promu par le gouvernement.
Ils exigent également que des campagnes de sensibilisation et d'information soient promues pour avertir la population des risques liés à ce matériau.
Le porte-parole du MÉS per sa Pobla, Simó Tomàs, a souligné que l'amiante ne peut pas continuer à constituer une menace pour la santé publique et qu'« il est nécessaire » que les institutions fournissent « des ressources pour faire face au coût de son élimination ».