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MADRID, 13 juillet (EUROPA PRESS) –
Les États-Unis, le Japon, le Canada, la Nouvelle-Zélande et des pays de l’Union européenne, comme l’Espagne, la France, l’Italie, le Royaume-Uni ou l’Allemagne, ont réitéré leur soutien à l’Ukraine avant l’ouverture du processus devant la Cour internationale de Justice (CIJ) contre la Russie pour génocide présumé dans le pays dans le contexte de l’invasion russe.
« Nous prenons note de la déclaration publique du 1er juillet 2022, selon laquelle l’Ukraine a annoncé qu’elle avait soumis son mémoire à la Cour. Nous saluons, une fois de plus, les efforts de l’Ukraine pour faire respecter le droit international », ont-ils souligné dans une déclaration commune.
Otros de los países firmantes que apoyan a Kiev, y que señalan que Rusia « debe rendir cuentas por sus acciones », son Grecia, Malta, Islandia, Irlanda, Macedonia del Norte, Eslovaquia, Eslovenia, Croacia, Chipre, Albania, Bulgaria o Moldavia , entre autres.
« Nous considérons que les violations du droit international par la Russie engagent sa responsabilité internationale, et que les pertes et dommages subis par l’Ukraine du fait de (ces violations) par la Russie nécessitent une réparation complète et urgente », ont-ils souligné.
En este sentido, los países firmantes han destacado, en su comunicado conjunto, que el objetivo de la Convención para la Prevención y la Sanción del Delito de Genocidio es « salvaguardar la existencia misma de ciertos grupos humanos y confirmar y refrendar los principios más elementales de la morale ».
« Il est dans l’intérêt de tous les États parties à la convention sur le génocide, et plus largement de la communauté internationale dans son ensemble, que la convention ne soit pas utilisée à mauvais escient ou abusivement. C’est pourquoi les signataires de cette déclaration qui sont parties à la convention sur le génocide ont l’intention d’intervenir dans ce processus », ont-ils expliqué.
Enfin, ils ont souligné l’importance de partager avec la Cour « leurs interprétations de certaines de ses dispositions essentielles » à la lumière des « questions sérieuses soulevées dans cette affaire ».