Les effets de l’augmentation de la population mondiale dans la prestation de soins de santé

La population mondiale (7 975 105 156 actuellement) croît de façon exponentielle à un rythme alarmant et une poignée de pays sont en grande partie responsables de cette croissance, la population augmentant d’environ 83 millions de personnes chaque année, un retard démographique -fécondité élevée et faible mortalité- exagère la population croissance parce que la transition rapide des taux de mortalité ne s’accompagne pas d’une transition de la fécondité, en supposant une baisse régulière de la fécondité dans de nombreux pays, les Nations Unies déclarent que d’ici 2100, la population est sur la bonne voie pour atteindre 10,8 milliards

Lorsque nous utilisons le terme « surpopulation », nous entendons spécifiquement une situation dans laquelle la Terre ne peut pas régénérer les ressources utilisées par la population mondiale chaque année. Un rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publié en 2005 indiquait que la surpopulation est « une perturbation écologique dans laquelle la population dépasse la capacité de charge de l’environnement ». Plus de personnes signifie une demande accrue de nourriture, d’eau, de logement, d’énergie, de soins de santé, de transport, etc.

avec une production alimentaire sapante conduisant à une réduction de l’apport alimentaire conduisant à la malnutrition conduisant à des capacités cognitives réduites, une immunité affaiblie, une cicatrisation des plaies et une lutte contre les infections affectant par conséquent les individus et donc la société dans son ensemble.

Plus de personnes signifie encore une fois plus de pollution, ce qui entraîne des conditions de vie congestionnées, des changements environnementaux, une surpopulation urbaine et un manque d’établissements de santé qui, à leur tour, entraînent l’émergence et la transmission de plusieurs maladies infectieuses.

L’augmentation de la résistance aux antimicrobiens s’est avérée être un problème imprévu pour les maladies. On estime que 2 milliards de personnes dans le monde tombent malades chaque année en buvant de l’eau contaminée. Sa contamination et son assainissement inadéquat ont été liés à la propagation de maladies d’origine hydrique, telles que typhoïde, dysenteriecholéra, poliol’hépatite A et diarrhée.

Les effets combinés de la pollution de l’air ambiant et de la pollution de l’air domestique « sont associés à 6,7 millions de décès prématurés par an », selon l’OMS. c’est plus que les décès dus au sida, à la tuberculose et au paludisme réunis. L’exposition à la pollution de l’air domestique entraîne des maladies non transmissibles, notamment les accidents vasculaires cérébraux, les cardiopathies ischémiques, les maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC) et le cancer du poumon.

La surpopulation est un problème mondial et indéniablement à l’origine de nombreux problèmes de santé publique qui ne peuvent être ignorés. Les gouvernements, les ONG et les associations de santé sont invités à sensibiliser le public au problème de la surpopulation.

Les établissements de santé doivent étendre leurs installations médicales avec le soutien d’organisations gouvernementales et privées. Une combinaison de sensibilisation du public et de politiques contraceptives peut briser le cercle vicieux de la surpopulation et des risques qui y sont associés.

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