BRUXELLES, le 18 mars (EUROPA PRESS) –
Le Conseil a donné lundi son feu vert définitif à la nouvelle loi visant à protéger le marché européen de l'énergie contre les manipulations afin de réduire la volatilité des factures et l'incertitude des consommateurs causée par les fluctuations des prix.
Il s'agit de la mise à jour du règlement sur l'intégrité et la transparence du marché de gros de l'énergie (REMIT), qui renforce la transparence et la surveillance du marché.
Le texte, désormais transformé en loi, a déjà été approuvé par le Parlement européen et introduit de nouvelles mesures pour mieux protéger le marché de gros de l'énergie de l'UE, en générant un bouclier pour les factures énergétiques des foyers et des entreprises européens contre d'éventuelles fluctuations à court terme. prix du marché.
La nouvelle règle introduit un plus grand alignement avec les règles de l'UE sur la transparence des marchés financiers et couvre de nouvelles pratiques telles que le trading algorithmique, tout en renforçant les dispositions en matière de reporting et de surveillance pour protéger les consommateurs contre les abus de marché.
La ley crea requisitos más claros y estrictos para los participantes del mercado de la UE que residen en un tercer país, por lo que, a partir de ahora, deberán designar un representante en un Estado miembro en el que los participantes operen en el mercado mayorista d'énergie. Le représentant doit être désigné par mandat écrit et autorisé à agir au nom de l'acteur du marché.
De même, la dimension européenne et le rôle de surveillance de l'Agence de coopération des régulateurs de l'énergie (ACER) sont renforcés, qui sera chargé de prendre des décisions en matière d'inspections, de demandes d'informations et d'autorisations de plateformes d'informations privilégiées (PII) et d'informations enregistrées. Mécanismes (MRR).
Ainsi, si l'ACER ne reçoit pas les informations nécessaires lors des enquêtes sur des dossiers transfrontaliers, elle peut imposer des astreintes pour garantir le respect des décisions d'inspection et des demandes d'informations.
Toutefois, le pouvoir d'imposer des amendes en cas d'infraction, de non-respect des interdictions ou des obligations substantielles incluses dans le règlement restera entre les mains des États membres.