L’aide peut être demandée jusqu’au 30 septembre
MADRID, 6 juillet (EUROPA PRESS) –
Les petites et moyennes entreprises qui souhaitent exporter hors de l’Union européenne peuvent opter pour une aide pouvant aller jusqu’à 20 000 euros pour la certification internationale de leurs produits et services, comme le souligne la Chambre de commerce espagnole.
Cette ligne d’aide à la certification internationale fait partie du programme « Mentorat et soutien à l’internationalisation » lancé par la Chambre de commerce espagnole, en tant qu’entité collaboratrice du secrétaire d’État au commerce et est financée par le « Next Generation Funds » à travers le Recovery , Plan de transformation et de résilience.
Ainsi, l’entreprise bénéficiaire pourra percevoir jusqu’à 20 000 euros, sur un budget maximum de 25 000, pour financer les frais de conseil liés à la certification ; frais d’expédition, retour et/ou destruction d’échantillons ; coût des tests de laboratoire (en Espagne ou à destination) ; délivrance d’une certification ou d’un agrément ; le coût des audits ; coût de renouvellement ou de maintenance des certificats, même s’ils auront une priorité en termes de support, de certifications de première année et de traduction et de légalisation des documents.
De plus, les dépenses découlant du processus de certification des projets déjà entamés ou achevés seront éligibles au cofinancement, à condition qu’elles aient été réalisées au 1er janvier 2023.
EXIGENCES
L’aide peut être demandée via le siège électronique de la Chambre d’Espagne, jusqu’au 30 septembre, date à laquelle les conditions d’être une PME sont remplies, avec un chiffre d’affaires supérieur à 1 million d’euros; avoir un produit, un service ou une marque propre et être une entreprise exportatrice, uniquement si une certification volontaire est demandée.
De même, les exigences de l’article 13 de la loi générale sur les subventions 38/2003, du 17 novembre, doivent être remplies ; respecter la norme de minimis exigée par l’Union européenne (règlement UE n° 1407/2013 relatif à l’application des articles 107 et 108 du traité UE aux aides de minimis) et ne pas être considérée comme une entreprise en crise, conformément aux dispositions de Règlement 651/2017, du 17 juin 2014.