MÁLAGA, 8 octobre (EUROPA PRESS) –
L’association Verdemar Ecologistas en Acción a porté devant l’Union européenne la « destruction » du fleuve Guadiaro et de ses affluents, une situation dont elle tient la Junta de Andalucía directement responsable pour être « responsable de l’entretien de ces zones de conservation spéciale », et Il ne l’a pas fait. »
Dans un communiqué de presse, Verdemar Ecologistas en Acción a averti dimanche que le gouvernement andalou « ne dispose même pas de crèche fluviale » et que c’est la société civile qui « doit dénoncer ces événements ». À ce sujet, l’association a rappelé son soutien aux Agents Environnementaux, dont le fonctionnement, selon Verdemar, « le Gouvernement andalou veut décapiter ». Ces dernières années, les agents environnementaux ont perdu « plus de 50 % de leur personnel », selon les données de l’entité environnementale.
Ces agents sont chargés de garder le patrimoine environnemental de la communauté autonome et sont considérés comme des agents de l’Autorité dans l’exercice de leurs fonctions. Ils participent également aux enquêtes sur les crimes contre l’environnement. Le fleuve Guadiaro, selon Ecologistas en Acción, « n’a personne pour le surveiller depuis sa source à Malaga jusqu’à son embouchure dans Cadix ».
« Nous nous sommes adressés à l’Union européenne pour l’avertir que le gouvernement andalou est responsable de ces impacts significatifs dans la zone spéciale de conservation de la rivière Guadiaro, protégée par la réglementation européenne. Les superficies irrigables pluviales ont augmenté de plus de 1 000 hectares dans toute l’unité physiographique et la Junte. de Andalucía ont accordé des concessions sans autorisations environnementales préalables », a-t-il soutenu.
Pour cette raison, Verdemar Ecologistas en Acción a défendu que ces événements « très graves » doivent faire l’objet d’une « enquête », car « certaines actions peuvent constituer une infraction pénale ». En ce qui concerne le débit de la rivière, celui-ci « disparaît en raison d’une mauvaise « L’un de ses affluents, le fleuve Genal, est déjà à sec et va maintenant provoquer la mort de 1 000 habitats protégés par l’Union européenne », a déclaré l’association. .