Aimplas conclut des projets pour promouvoir l’impression 3D dans les hôpitaux et résoudre les défis environnementaux dans la construction

VALENCE, 21 sept. (EUROPA PRESS) –

Promouvoir la technologie d’impression 3D dans les hôpitaux et résoudre les défis environnementaux dans le secteur de la construction sont les objectifs des deux projets de formation ALADDIN et TAB4BUILDING, cofinancés par le programme Erasmus+ KA202 de l’Union européenne, qui se sont conclus avec succès ce mois-ci.

Aimplas, Institut technologique du plastique, a participé à ces projets qui poursuivent l’objectif commun d’introduire les matériaux plastiques et leurs technologies dans des secteurs dans lesquels ils peuvent apporter une valeur ajoutée comme la santé ou la construction, grâce à la formation de professionnels, comme l’a rapporté l’institut en une déclaration.

Les deux projets ont inclus le développement de formations spécifiques qui ont permis de combler le déficit de formation identifié dans ces secteurs, en termes de technologie de fabrication additive dans le cas des hôpitaux, et l’utilisation de polymères renforcés de fibres (FRP) sur le terrain de la construction durable.

Afin de mettre en pratique ces programmes, disponibles dans les langues officielles des partenaires du projet, des éditions pilotes ont également été développées qui ont reçu une acceptation et des réponses très positives de la part des professionnels présents.

Une fois les deux projets achevés, les consortiums entendent répliquer ces formations afin qu’elles touchent le plus grand nombre de professionnels possible, afin d’améliorer leur expertise, répondre aux nouveaux enjeux sanitaires et favoriser la qualification aux alternatives durables pour la construction.

Dans le cas d’ALADDIN, Aimplas a coordonné ce projet dont l’objectif principal est d’introduire la technologie de fabrication additive (ou impression 3D) dans les hôpitaux, qui offre de nombreux avantages au secteur de la santé, comme la personnalisation ou la rapidité de production. L’un des principaux freins à leur intégration dans ce domaine est le manque de formation et, pour cela, le projet propose la création d’un programme de formation spécifique s’adressant à deux profils : personnels hospitaliers et élèves-ingénieurs pouvant ainsi être intégrés au secteur de la santé. .

Cinq autres partenaires ont participé au projet : la Plate-forme également espagnole pour l’innovation dans les technologies médicales et de la santé (ITEMAS), l’incubateur belge Jobs@skills, l’Advanced Manufacturing Research Center du groupe AMRC, le Translational Medical Device Lab & Health Innovation Hub Ireland (HIHI) de l’Université de Galway (Irlande) et l’association belge The European Hospital and Healthcare Federation (HOPE).

Dans le cas du projet TAB4BUILDING, l’objectif principal a été d’offrir une formation aux architectes, architectes techniques et constructeurs sur l’utilisation des matériaux composites ou des polymères renforcés de fibres dans le secteur de la construction, car un manque de formation sur l’utilisation des fibres- Des polymères renforcés ont été détectés.L’utilisation de ces matériaux qui offrent tant d’avantages tels que leur résistance, leur durabilité, leur durabilité environnementale ou leur faible coût.

Coordonné par l’Université de technologie de Silésie (SUT) de Pologne, il compte sur la participation de quatre autres partenaires, en plus d’AIMPLAS, tels que la Fédération valencienne des employeurs de la construction (FEVEC), le Laboratoire de recherche 3s d’Autriche, le secteur de la construction le Slovène Chambre de commerce (Gospodarska Zbornica Slovenije) et les employeurs grecs de la construction Association panhellénique des ingénieurs entrepreneurs de travaux publics (PEDMEDE). En outre, la Fédération européenne de l’industrie de la construction (FIEC) collabore au projet de diffusion du programme de formation auprès d’autres fédérations européennes du secteur de la construction.