SOS rural mène au Congrès sa «feuille de route» et se rend au secteur alimentaire comme stratégique pour l'UE

Madrid 28 février (Europa Press) –

Le Citizen Movement SOS Rural a présenté ce vendredi au Congrès des députés un livre blanc comme « la feuille de route » pour défendre le domaine comme une portée stratégique dans le cadre européen pour protéger sa compétitivité dans le secteur alimentaire.

Au cours de la présentation, la porte-parole nationale de SOS Rural, Natalia Corbalán, a expliqué que le livre blanc de SOS rural analyse les différents problèmes du secteur, proposant un total de 13 solutions divisées en cinq axes thématiques inclus dans le document.

Ces axes comprennent des groupes de propositions plus concrettes, étant: « La nourriture en tant que secteur stratégique », « Le besoin d'un environnement rural vivant », « une transition verte et équitable », « Innovation in the Center » et « Global Europe, The International Dimension ».

« Dans cette tâche, nous chercherons à tout moment pour converger avec les politiques publiques », a déclaré la porte-parole lors de son discours avant la présentation du document, dans lequel elle voulait mettre en évidence les SO ruraux en tant qu'association « transversale et partitistique ».

Selon Corbalán, les problèmes confrontés à l'association sont concentrés dans la concurrence déloyale des agriculteurs européens et la situation des petits agriculteurs contre les grandes entreprises.

Les sections que le livre blanc défend est la nourriture en tant que secteur stratégique, la nécessité d'un environnement rural vivant, intervient dans la transition européenne verte, parie sur l'innovation et mettent en évidence la production européenne sur le marché international.

En outre, le représentant a salué les travaux des agriculteurs et a nommé les plans d'action de l'association d'ici 2025, dans lesquels il parie également sur l'intégration du monde rural, la communication dans les réseaux sociaux, la rigueur et l'implication du reste de la société.

Mesures pour défendre le champ

La présentation a mis en évidence la nécessité pour le secteur primaire d'être considéré comme un secteur géostratégique et des politiques efficaces qui permettent au champ de laisser leurs stigmates actuels à travers des cadres normatifs et des mesures qui lui permettent de se développer.

Il s'agit notamment de la création de lois sur la sécurité alimentaire et la souveraineté, l'utilisation prioritaire des terres agricoles et d'élevage, en plus des plans de diffusion dans les écoles qui visent à réévaluer le travail de la campagne dans la société.

Dans l'arène internationale, une étude sur le jeu de normes dérivé du pacte vert européen a été proposée pour garantir « un cadre vert et équilibré » avec le travail des agriculteurs.

Enfin, des mesures protectionnistes ont été proposées contre l'importation de produits de l'extérieur de l'Europe, où SOS Rural a exigé la mise en œuvre de tarifs, l'introduction de clauses miroir dans les accords commerciaux et l'application effective des sanctions.

Critique des syndicats

La porte-parole de l'association a mis en évidence le caractère indépendant de son organisation à plusieurs reprises, par opposition aux syndicats et a mis en évidence sa pluralité en mentionnant des représentants de groupes politiques présents tels que PSOE, PP et VOX.

« Il s'agit d'un mouvement autofinancé », a déclaré Corbarán, qui a estimé que « la société manque de moyens civils indépendants » et critiquant le modèle de financement des syndicats.

Le représentant a exigé que « la nourriture doit être un bien aussi stratégique qui met tout le monde en accord avec », défendant enfin « un grand pacte d'État » qui résout les problèmes agraires.