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MADRID, 12 août (EUROPA PRESS) –
Le ministre des Finances d'Israël, Bezalel Smotrich, a accusé lundi le haut représentant de la politique étrangère et de sécurité de l'Union européenne, Josep Borrell, de « prendre position » de la « terroristes » du Mouvement de la Résistance Islamique (Hamas).
Borrell a proposé que l'UE impose de nouvelles sanctions au gouvernement israélien en raison de la « incendiaire » déclarations de certains de ses ministres, dont Smotrich et le chef de la Sûreté nationale, l'ultranationaliste Itamar Ben Gvir.
En réponse, Smotrich a assuré ce lundi dans un long message publié sur le réseau social « sont une indication claire et dangereuse qu'il est du côté de la terreur » et ça « Il ne se soucie pas du peuple palestinien. ».
« Il viendra un moment où l’Europe aura honte de Borrell et des deux poids, deux mesures que lui et nombre de ses amis appliquent à Israël tout en se rangeant du côté des vrais terroristes. »a-t-il souligné, ajoutant que « trompe » à l'opinion publique.
Smotrich a souligné que la guerre « nécessite de choisir entre le bien et le mal »bien que Borrell « a choisi le mauvais côté de l'histoire » pendant qu'Israël se bat « aux barbares génocidaires » du Hamas, ainsi que « Axe iranien du mal »que « menace la société occidentale dans son ensemble ».
« Si Borrell se souciait des Palestiniens, il s’opposerait au mur construit par l’Égypte pour entourer Gaza et emprisonner ses habitants. Cela aiderait les Gazaouis qui tentent d’échapper à la brutalité du Hamas et de commencer une nouvelle vie sûre au sein de l’UE. »il a condamné.
Cela survient après que Borrell a exhorté le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu à « se distancier sans équivoque de telles incitations » commettre des crimes de guerre par les ministres susmentionnés et « participer de bonne foi » dans les négociations pour un cessez-le-feu dans la bande de Gaza.
Smotrich a souligné lundi dernier qu'Israël apportait une aide humanitaire à l'enclave palestinienne parce que « n'a pas le choix ». « Personne ne nous permettra de laisser mourir de faim deux millions de civils, même si cela peut être justifié et moral jusqu'à ce que nos otages nous soient rendus. »a-t-il affirmé.