Sánchez répond à Podemos que les limites des hypothèques « ils ne sont pas autorisés » dans l’UE

Pedro Sánchez, lors de l’interview sur RTVE – RTVE

MADRID, 13 sept. (EUROPA PRESS) –

Le président du gouvernement, Pedro Sánchez, a répondu ce mardi que « plafonds sur les prêts hypothécaires » proposé par United We Can « ils ne sont pas autorisés » dans « le traité de l’union européenne »bien qu’il ait assuré qu’il partageait « une analyse » de votre partenaire de coalition.

« Les plafonds hypothécaires ne sont pas autorisés dans le traité de l’UE »Sánchez s’est installé dans une interview sur TVE, recueillie par Europa Press, dans laquelle il a déclaré qu’il partageait le « une analyse » de United We Can et du syndicat UGT qui « durcissement de la politique monétaire »ce qui, selon lui, est « nécessaires pour contrôler l’évolution de l’inflation »ne doit pas être transféré à « une augmentation des prêts hypothécaires » quoi mettre « en difficulté » familles qui souffrent déjà de la hausse des prix.

Pour cette raison, le chef de l’exécutif a préconisé d’autres mesures promues par le gouvernement telles que la taxe sur les bénéfices extraordinaires des entreprises énergétiques et des entités financières qui, comme il l’a rappelé, ont été secourues « avec l’argent des contribuables » lors de la crise précédente.

À ce stade, Sánchez a de nouveau accusé le Parti populaire d’avoir refusé « débattre » et s’opposer au système fiscal, y compris « d’une manière extraordinaire » et pour un temps limité, un prélèvement sur les bénéfices exceptionnels.

Après la conférence de presse après le Conseil des ministres, la porte-parole du gouvernement, Isabel Rodríguez, a déclaré que « valeurs » la proposition de son partenaire United We Can, d’instaurer un plafond temporaire sur les prêts immobiliers à taux variable pour protéger les familles vulnérables, bien qu’il ait demandé de se concentrer sur l’ensemble des mesures déjà adoptées et l’effort du pays qu’elles impliquent. Cette proposition, selon la formation violette, signifierait en pratique la réduction jusqu’à 150 euros des mensualités en raison de la hausse de l’Euribor.