Morant parie sur le programme PRIMA à Bruxelles pour renforcer la collaboration scientifique entre les pays de l’UE

MADRID, 2 déc. (EUROPA PRESS) –

La ministre de la Science et de l’Innovation, Diana Morant, a défendu la continuité de PRIMA au-delà de 2025 pour renforcer la collaboration scientifique entre les pays de l’UE. Ce programme a pour objectif de développer des solutions pour une gestion plus durable des systèmes de l’eau, de l’agriculture et de la chaîne agroalimentaire dans l’espace méditerranéen.

Morant a souligné, lors du Conseil de l’Union européenne sur la compétitivité de la recherche, qui s’est tenu ce vendredi à Bruxelles, que ce programme sera l’un des dossiers en suspens de la présidence espagnole du Conseil de l’Union européenne au second semestre 2023.

Le ministre a déclaré que la collaboration scientifique promue par PRIMA agit au profit de tous les pays participants et génère des opportunités de vie et d’avenir pour leurs citoyens grâce à la science et à l’innovation. Actuellement, 19 pays font partie de ce programme : Espagne, Algérie, Jordanie, Liban, Égypte, Croatie, Chypre, France, Maroc, Allemagne, Grèce, Israël, Italie, Luxembourg, Malte, Portugal, Slovénie, Tunisie et Turquie.

Morant a profité de la réunion pour montrer le soutien du gouvernement espagnol à la candidature de Valence aux prix iCapital du Conseil européen de l’innovation, qui décidera de la Capitale européenne de l’innovation 2022.

Le ministre a également défendu la volonté et la capacité de Valence à améliorer la vie des citoyens avec des initiatives telles que les Missions d’Innovation. En ce sens, il a rappelé que la ville a été choisie par la Commission européenne comme Capitale verte européenne 2024 et fait partie des villes intelligentes et climatiquement neutres pour 2030.