MADRID, 10 juin (EUROPA PRESS) –
La chef de la division des droits de l’homme du Service européen pour l’action extérieure (SEAE), Luisa Ragher, a montré au ministre sans portefeuille de Taïwan, Lo Ping Cheng, son rejet de la peine de mort et a appelé à « redoubler d’efforts » pour l’abolir. .
Taïwan et l’Union européenne ont tenu des consultations « ouvertes et constructives » ce vendredi à Bruxelles, en Belgique, au cours desquelles ils ont réitéré l’engagement des deux parties à promouvoir et à protéger les droits de l’homme, la démocratie et l’État de droit, selon un communiqué du SEAE.
« Les consultations ont confirmé que l’UE et Taïwan partagent des valeurs et des principes similaires et un engagement fort à se conformer aux normes internationales en matière de droits de l’homme », indique le communiqué.
En outre, ils ont convenu de « poursuivre les échanges et la coopération sur les droits de l’homme » tels que les droits des travailleurs migrants et domestiques, les entreprises et les droits de l’homme, l’égalité des sexes et les droits des personnes LGBTI.