L’UGT Andalousie exige des mesures pour garantir la « pleine » égalité de traitement et des chances

SÉVILLE, 17 janvier (EUROPA PRESS) –

L’UGT Andalousie exige des mesures pour garantir une « pleine » égalité de traitement et des chances après que la Commission européenne a publié l’Eurobaromètre spécial « Discrimination dans l’Union européenne ». Où les résultats montrent que 65% des personnes interrogées dans tous les États membres considèrent qu’il existe une discrimination généralisée dans leur pays en raison de leur origine rom ; 61 % pensent que les gens souffrent de discrimination en raison de la couleur de leur peau et 60 % en raison de leur origine ethnique.

Dans le cas de l’Espagne, indique le syndicat dans un communiqué, sur les 1.004 personnes interrogées en 2023, 70% considèrent que la discrimination contre une personne parce qu’elle est rom est courante, 60% que la discrimination est courante. origine et 58% basés sur la couleur de la peau. De plus, au travail, 94 % des personnes se sentiraient à l’aise de travailler avec un collègue de couleur, 93 % avec une personne d’origine asiatique et 98 % avec une personne blanche.

Concernant les facteurs de désavantage, le syndicat continue d’expliquer que lorsque deux personnes ayant les mêmes capacités postulent à un emploi, 61% considèrent que l’âge est le principal facteur de désavantage, 46% que c’est l’apparence, la manière de s’habiller ou de se présenter et 43% l’apparence physique.

Pour l’UGT Andalucía, il existe trois objectifs « inaliénables » pour lesquels « nous continuons à réaliser notre travail syndical » pour les travailleurs, quelle que soit leur nationalité, qui sont le droit de toute personne à recevoir un traitement courtois, respectueux et digne ; le droit à l’égalité et à la non-discrimination au travail et le droit à la santé au travail, qui est garanti non seulement en assurant la prévention et la protection contre les risques pouvant causer des dommages ou des dommages physiques, mais également contre les risques pouvant provoquer une détérioration de la santé mentale. santé.

La législation, tant internationale, européenne que nationale, garantit ces droits à travers des réglementations qui interdisent à la fois la discrimination et le harcèlement. Cependant, le harcèlement sur le lieu de travail touche de plus en plus de travailleurs, constituant une violation des droits fondamentaux légalement reconnus, un facteur de détérioration de l’environnement de travail et un risque pour leur santé.

C’est pourquoi, depuis notre organisation syndicale, nous travaillons « fermement » pour parvenir à une « pleine » égalité de traitement et des chances, en défendant toutes les particularités et les besoins des travailleurs, qu’ils soient hommes ou femmes, étrangers ou espagnols, des jeunes, en s’établissant en collectifs. accords les ajustements nécessaires pour surmonter d’éventuelles situations désavantageuses des travailleurs nés dans un autre pays ou soumis à la réglementation sur l’immigration, a indiqué l’UGT.

Enfin, l’organisation syndicale souligne qu’elle offre à la société espagnole des attitudes favorables de tolérance, d’accueil et d’intégration sociale pour prévenir l’émergence d’attitudes négatives et modifier d’éventuels comportements racistes, xénophobes ou inégalitaires.