L’UE et les États-Unis continuent de travailler ensemble pour « faire reculer » la Russie en Ukraine

BRUXELLES, le 4 août (EUROPE PRESS) –

Le haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell, a indiqué ce jeudi que l’UE et les États-Unis travaillaient ensemble pour « repousser » la Russie en Ukraine.

« Les États-Unis et l’UE continuent de travailler main dans la main pour repousser l’attaque de la Russie contre l’Ukraine et contre le système et l’économie mondiale », a déclaré le chef de la diplomatie européenne dans un post sur Twitter après avoir rencontré le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, lors d’une réunion ministérielle de l’Association nationale de l’Asie du Sud-Est (ANASE) au Cambodge.

De son côté, Blinken a souligné le travail accompli pour « soutenir l’Ukraine » et a pointé la responsabilité de la Russie.

Les pourparlers entre les représentants européens et américains ont également porté sur le programme nucléaire de l’Iran, comment préserver la paix et la stabilité à travers le détroit de Taiwan ou l’avancement de la sécurité dans l’Indo-Pacifique.

Además, Borrell ha mostrado su preocupación por la situación en Birmania y ha destacado el papel del vice primer ministro de Camboya, Prak Sokhon, como presidente de la Asociación Nacional del Sudeste Asiático (ASEAN) « para abordar el empeoramiento de la situación » en el Pays.

Dans une autre étape, le chef de la diplomatie européenne a exprimé sa volonté d’approfondir « nos relations et alliances bilatérales » avec l’ASEAN et de travailler « sur diverses questions de stabilité régionale et mondiale ». A cet égard, le secrétaire d’Etat américain a réitéré son attachement à la « centralité » de l’ASEAN.

Le Premier ministre cambodgien Hun Sen a annoncé mercredi que l’ASEAN pourrait revoir l’accord de paix conclu avec la Birmanie si la junte militaire au pouvoir continue d’exécuter des prisonniers.

Le président a ajouté que bien que la mise en œuvre du consensus n’ait pas progressé comme tout le monde le souhaiterait, « elle a conduit à des progrès, notamment dans la fourniture d’aide humanitaire à ceux qui en ont le plus besoin », selon l’agence de presse officielle cambodgienne.

L’accord auquel il a fait référence comprend, entre autres points, la fin immédiate des violences, la mise en place d’un dialogue constructif entre toutes les parties intéressées pour rechercher des solutions pacifiques, ainsi que la nomination d’un envoyé spécial du président de l’ASEAN pour agir en tant que médiateur pour promouvoir le processus de dialogue.