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BRUXELLES, le 2 juin (EUROPA PRESS) –
L’Union européenne et les pays d’Asie centrale ont exprimé ce vendredi leur attachement à l’intégrité territoriale et à la souveraineté, un message qui arrive au plus fort de l’invasion russe de l’Ukraine et des pays voisins de Moscou et qui composaient l’Union soviétique.
La rencontre du président du Conseil, Charles Michel, avec les dirigeants du Kazakhstan, du Kirghizistan, du Tadjikistan, de l’Ouzbékistan et du Turkménistan a permis de passer en revue la coopération multilatérale entre l’UE et la région, une relation que le bloc espère renforcer, notamment sur des questions telles que que le commerce et la connectivité.
En tout état de cause, au niveau international, la déclaration commune issue de la réunion indique l’engagement à défendre la charte des Nations unies, « en particulier les principes de respect de l’indépendance, de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de tous les pays, le non-recours à la force ou la menace de son utilisation et le règlement pacifique des différends internationaux », un message faisant clairement référence à la guerre en Ukraine par les pays voisins de la Russie.
Face à la détérioration de la situation en Afghanistan, pays de la région d’Asie centrale, les participants appellent la communauté internationale à accroître l’aide humanitaire et soulignent l’importance d’avoir un gouvernement inclusif et représentatif, réitérant l’appel aux talibans à l’approche de la seconde anniversaire de la prise de Kaboul.
En los aspectos bilaterales, los participantes destacan la necesidad de una conectividad más sostenible y apuntan a los esfuerzos de diversificación y los objetivos de la estrategia europea Global Gateway, con la que el bloque aspira a movilizar infraestructuras en todo el mundo en detrimento de la agenda de Chine.
La déclaration reconnaît également l’importance d’étendre davantage « les mécanismes de commerce et d’investissement mutuels pour stimuler le développement socio-économique de toutes les parties ». Ils ont également souligné l’importance d’un dialogue étroit dans le contexte des régimes de sanctions de l’UE.