BRUXELLES/MÉRIDA, 10 octobre (EUROPA PRESS) –
La Présidente de la Conseil d’Estrémadure, María Guardiolaa utilisé les deux minutes de ce qui a été son première intervention dans le complet du Comité des régionsau sein du chapitre dans lequel les représentants des territoires ont exposé leurs propositions en matière de santé, à réclamer avant le Autorités européennes la il faut compter avec plus de collaboration au moment de la déployer des politiques de santé mentale dans les villes et les régions.
Lors de son discours, il a également expliqué intention de votre gouvernement de mettre en œuvre des mesures à cet égardcomme un hôpital de jour pour patients en santé mentale dans la capitale de Cáceres ou un nouvelle stratégie globale.
Il a cité des problèmes tels que « les troubles de l’alimentation, les comportements suicidaires », des sujets que les auditeurs « connaissent sûrement, soit parce qu’ils les ont vécus directement dans leur famille, soit entre amis ou collègues de travail ».
« Aussi communs qu’ils soient, ce sont les grands oubliés. En parler est important, et je sais que c’est une préoccupation qui touche toutes les régions. Nous devons être unis et adopter des mesures courageuses », a proposé le président d’Estrémadure.
MANQUE DE SPÉCIALISTES
Au cours de son discours, il a souligné qu’en Espagne, et surtout là où il y a des problèmes de dépopulation, le défi est « encore plus grand » en raison du « manque de spécialistes de la santé dans certaines branches comme la psychiatrie ». En Estrémadure, il existe « un bon réseau de santé et il sera renforcé avec davantage de ressources ».
Il a enfin voulu mettre l’accent sur « l’usage irresponsable des nouvelles technologies » qui touche « surtout les enfants et les adolescents ».
« Les suicides dus au cyberharcèlement sont en augmentation, un problème qui touche toute l’Union européenne. Ne normalisons pas les usages nocifs, soyons conscients et donnons de la visibilité. Prenons des mesures, c’est entre nos mains », a conclu Guardiola.