Les premières pages des journaux du mercredi 14 juin

MADRID, 14 juin (EUROPA PRESS) –

Les premières éditions des principaux journaux qui ont atteint notre salle de rédaction incluent, entre autres, les nouvelles suivantes en première page :

EL PAÍS : « Feijóo conclut son premier grand pacte avec l’ultra-droite » ; « Le Roi : « La société démocratique exige un bon journalisme » » ; « Trump plaide non coupable des 37 chefs d’accusation retenus contre lui » ; « La réforme du tarif du léger poursuit plus de stabilité des prix » ; « La Russie tue 11 personnes dans une attaque contre des civils dans la ville natale de Zelensky ».

EL MUNDO : « Mazón accélère l’accord avec Vox pour ouvrir la voie à Feijóo » ; « Le baril de poudre sahraoui menace d’exploiter Díaz pour son ‘numéro 2′ »; « La Banque d’Espagne prévoit qu’en 2024, il n’y aura pas de stock de logements pour les nouvelles familles » ; « Donald Trump plaide non coupable de crimes contre la sûreté de l’État » ; « Taïwan, l’île démocratique qui tient tête à Xi Jinping ».

ABC : « Bendodo et Espinosa clôturent la crise de Valence et clarifient les pactes dans toute l’Espagne » ; « L’ancien président Trump revient sur le quai » .

LA VANGUARDIA: « Le PP conclut un pacte avec Vox, qui entrera dans la Generalitat valencienne »; « Trump plaide non coupable des accusations de détention de documents classifiés » ; « Barajas commence son expansion tandis qu’El Prat attend toujours » ; « La loi sur l’IA fait fuir la reconnaissance faciale » ; « La démolition du Camp Nou avance à grande vitesse ».

LA RAZÓN : « Mazón dynamite le plan national du PP avec Vox » ; « Trump défie à nouveau la justice américaine : il plaide non coupable » ; « Delgado, procureur de la Mémoire malgré les alertes en nullité » ; « Le berlusconisme sans Berlusconi : Forza Italia cherche un successeur » ; « L’Unicef ​​accuse l’Espagne de ne pas protéger les enfants : un enfant sur trois est menacé d’exclusion sociale » ; « Dissolution des charges de la Moncloa aux listes du PSOE pour le 23-J » ; « Les deux de Yolanda Díaz, une diplomate trotskyste qui défend les procés ».