MADRID, 21 septembre (EUROPA PRESS) –
La réunion des directeurs généraux des sports de l’Union européenne (UE), qui se tient les 21 et 22 septembre à Valence dans le cadre de la présidence espagnole du Conseil de l’UE, a porté ce jeudi sur l’analyse et la mise en œuvre des politiques d’égalité des sexes dans le sport.
« L’égalité entre les femmes et les hommes est un droit inscrit dans les piliers fondateurs de l’Union », a souligné le directeur général des sports d’Espagne, Fernando Molinero, mais a rappelé que « ce principe doit se matérialiser dans l’exécution et la mise en œuvre de mesures spécifiques et imprégner tous politique publique et domaine d’action, y compris le sport.
Dans cette perspective, l’égalité des sexes a été le thème de discussion le premier jour de la réunion des directeurs généraux des Sports de l’Union européenne, qui a commencé par le salut institutionnel du directeur général des Sports de la Generalitat Valenciana, Luis Cervera, et le directeur des sports de la direction générale de l’éducation, des sports, de la jeunesse et de la culture de la Commission européenne, Georg Häusler.
Les responsables sportifs des pays membres de l’Union européenne se sont accordés à souligner que « l’égalité est l’une des principales politiques sportives des pouvoirs publics des pays membres », comme l’a déclaré le chef de l’unité sportive de l’Union européenne. Commission européenne, Floor Van Houdt.
Lors de la séance tenue au Palais des Arts et des Sciences, la directrice générale adjointe de la Femme et du Sport du Conseil Supérieur du Sport (CSD), Bárbara Fuertes, a souligné les initiatives développées pour promouvoir l’égalité des sexes dans le domaine sportif, de la base au le concours, abordant des sujets tels que le leadership, la protection, la visibilité et la sensibilisation, la formation ou la professionnalisation.
Par ailleurs, les directeurs généraux des sports de l’UE ont expliqué les actions qu’ils mènent en matière d’égalité des sexes et partagé leurs plans stratégiques, avec de nombreuses coïncidences dans la lecture de la situation par les différents États membres.