Le secteur de la pêche souligne que 40% de la flotte chalutière andalouse « est condamnée à disparaître »

SÉVILLE, 29 novembre. (EUROPA PRESS) –

La Fédération andalouse des associations de pêcheurs souligne que 40% de la flotte chalutière d’Andalousie « est condamnée à disparaître », depuis la proposition présentée par la Commission européenne pour débat au prochain conseil des ministres de la pêche de l’Union européenne. 40 chalutiers en Andalousie seront contraints d’arrêter leur activité.

En outre, comme l’indique la fédération dans un communiqué, les réductions qui seront appliquées à partir de l’année prochaine 2024 signifieront qu’ils ne pourront pêcher qu’entre 120 et 130 jours par an, ce qui signifie que l’activité ne sera pas rentable et qu’ils ne pourra pas garantir les postes de travail et la rentabilité de l’entreprise.

Les arguments utilisés par la commission, souligne le secteur, sont « totalement faux », car ils se basent sur des études scientifiques menées dans une perspective politique et non technique, le stock se reconstitue et le secteur ne mérite pas la politique que le commissaire s’applique au chalutage en Méditerranée.

La fédération espère que les actions du gouvernement dans la période de négociation avec le reste des pays de la communauté seront « positives » et parviendront à paralyser ces absurdités du commissaire, et ainsi garantir l’activité de notre secteur.

Los pescadores andaluces realizan un pesca « responsable » y « sostenible », con medidas de autorregulación y de selectividad del arte de arrastre que garantizan la recuperación del caladero y por ello es necesario que puedan contar con días suficientes de actividad para garantizar la estabilidad de los emplois.