MADRID, 27 déc. (EUROPA PRESS) –
Le roi Felipe VI se rendra ce dimanche 1er janvier en République fédérative du Brésil à l’occasion de la cérémonie de passation du commandement présidentiel au président élu du Brésil, Luiz Inácio Lula da Silva, accompagné du ministre des Affaires étrangères , Union européenne et Coopération, José Manuel Albares, et la deuxième vice-présidente et ministre du Travail, Yolanda Díaz.
La présence du chef de l’État et des ministres à l’investiture du président Lula da Silva réaffirme, selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères, la volonté de l’Espagne de continuer à renforcer les « liens solides » d’amitié qui unissent les deux pays et qui « s’accompagnent par des valeurs partagées qui profitent aux citoyens ».
Díaz -qui a également assisté à l’investiture du président chilien Gabriel Boric- a déjà assuré dans des déclarations aux médias que « ce sera un honneur comme toujours » de représenter le gouvernement et l’Espagne à cette occasion.
De plus, après avoir rencontré son homologue uruguayen, Pablo Mieres, il a défendu que les liens de l’Espagne avec l’Amérique latine « sont transcendants », de sorte que le gouvernement espagnol sera « toujours » en faveur des pays de cette région, avec lesquels il partage « l’histoire et des défis communs », ainsi qu’une « culture et une économie » « proches ».
Précisément, le bureau de transition du président élu brésilien, Luiz Inácio Lula da Silva, a rapporté qu’au moins 12 chefs d’État, dont le roi d’Espagne, Felipe VI, ont confirmé leur présence à l’investiture de Lula, parmi lesquels se trouvent également les présidents de l’Allemagne, de l’Angola, de l’Argentine, de la Bolivie, du Cap-Vert, du Chili, de la Colombie, du Costa Rica, de la Guinée-Bissau, du Portugal et du Timor oriental.