CADIX, 24 juin (EUROPA PRESS) –
Le candidat numéro un au Sénat et secrétaire général adjoint du PSOE à Cadix, Alfonso Moscoso, a défendu ce samedi que l’Espagne a progressé de 5,5 % l’an dernier, enregistrant « la plus grande progression du PIB en démocratie ». Et il assure que « cette année, toutes les organisations disent que l’Espagne sera l’un des pays de l’UE qui grandira le plus ».
Moscoso défend que « le gouvernement a approuvé la plus grande réduction de TVA de l’histoire sur les produits énergétiques et alimentaires et a promu une réduction sans précédent de l’impôt sur le revenu des personnes physiques pour les revenus moyens », dans un contexte d’inflation croissante.
« Les recettes publiques augmentent en Espagne parce que le plus d’emplois de l’histoire est créé, près de 21 millions de personnes employées, grâce à la nouvelle loi du travail », a-t-il indiqué pour assurer que « la dette publique, avec une pandémie sanitaire et une guerre en Europe depuis 2020, elle a été réduite de sept points, et n’oublions pas qu’avec Rajoy, la dette publique a augmenté de plus de 30 points de PIB ».
Dans la ligne, il précise que « Feijóo a presque triplé la dette en Galice, car lorsqu’il est arrivé à la Xunta, il avait une dette de 3 954 millions et l’a laissée avec 11 314 millions ».
Le candidat socialiste souligne que « dans cette législature, avec un gouvernement PSOE, nous avons réussi à protéger le système public de retraite » alors que, « pendant les années de gouvernement de droite, ils ont pillé nos aînés, en perdant du pouvoir d’achat et en ne se conformant pas, une fois de plus, la Constitution et le Pacte de Tolède ».
Dans le même ordre d’idées, il ajoute que « le programme électoral du PSOE pour le 23 juillet comprendra la garantie de contribuer 5 000 millions d’euros chaque année à la tirelire des pensions, et de restituer au système l’argent que le PP de Rajoy a vidé et que nous avons aucun doute que Feijoo le referait ».
Enfin, Moscoso a prévenu des élections du 23 juillet « qu’elles vont décider de l’Espagne du présent mais surtout de celle du futur, car ces élections vont décider de nos droits, à la santé, à l’éducation, aux retraites, à la travail, dans les libertés et dans notre propre existence ».
« La propagande télévisée déguisée en divertissement, une presse liée à la droite, a un seul objectif, qui est de discréditer les politiciens de gauche, mais du PSOE nous allons empêcher cette manipulation car avant les canulars, le PSOE met des données, mais avant tout des faits et non des élucubrations », conclut-il.