SÉVILLE, 25 octobre (EUROPA PRESS) –
Ce mercredi, la séance plénière du Parlement a publié une déclaration institutionnelle en soutien aux camionneurs espagnols agressés à la frontière française alors qu’ils transportaient des produits, notamment ceux du secteur vitivinicole, et a appelé à une réponse « forte » de la part du L’Union européenne doit empêcher que ces événements ne se reproduisent.
Dans la déclaration institutionnelle, lue par le président du Parlement, Jesús Aguirre, il est publié suite au fait que le 19 octobre a eu lieu une série d' »attaques à la frontière », comme cela s’est produit à plusieurs reprises au cours des dernières décennies. transporté des produits espagnols vers d’autres pays de l’Union européenne », et à cette occasion, le
Les attaques se sont concentrées en particulier sur le secteur vitivinicole, fondamental pour l’emploi et l’économie de l’Andalousie.
La Chambre autonome a rappelé dans sa déclaration que le droit à la libre circulation des produits originaires des États membres constitue l’un des principes fondamentaux du Traité fondateur de l’Union européenne, et que le marché intérieur implique un espace sans frontières intérieures, dans lequel la libre circulation des marchandises est garantie.
« Nos agriculteurs et chauffeurs routiers travaillent dans le strict respect des réglementations nationales et communautaires, et ils ont parfaitement le droit de continuer à concourir dans les mêmes conditions que le reste des agriculteurs et des transporteurs de l’Union européenne, sans être attaqués ou intimidés par ces attaques sont absolument injustifiables », ajoute-t-on.
En ce sens, la Chambre a exprimé son rejet total de la
victimes des attaques subies par les transporteurs espagnols sur le territoire français, et a exprimé le ferme engagement de l’Andalousie pour garantir que les produits espagnols, et spécifiquement andalous, « ne soient pas menacés par ces comportements violents ».
De même, le Parlement s’est prononcé en faveur du fait que le gouvernement espagnol demande à l’Union européenne « une réponse énergique, en déployant le maximum d’effort diplomatique, afin que les mesures nécessaires et appropriées soient adoptées sur le territoire français pour prévenir et éviter les actions des individus contraires aux la libre circulation des produits agricoles, ainsi que pour garantir la sécurité des transporteurs ».