Inclusion alloue 25,1 millions d'aide à des projets de défense des droits humains des étrangers

Le ministère de l'Inclusion, de la Sécurité sociale et des Migrations a demandé des subventions pour le développement d'actions d'intérêt général en matière d'immigration pour défendre les droits humains des étrangers, ainsi que pour promouvoir la coexistence et la cohésion sociale, cofinancées par des fonds du Union européenne, pour un montant de 25 125 000 euros.

C'est ce qu'indique la résolution du directeur général de la Gestion des Migrations, Francisco Celso González González, publiée ce mardi au Journal Officiel de l'État (BOE), recueillie par Europa Press.

Entre autres, des subventions pourront être accordées à des projets de sensibilisation contre le racisme, la xénophobie, les crimes haineux et autres formes d'intolérance associées, ainsi que la violence de genre, dans toutes ses manifestations possibles, y compris les mutilations génitales et la traite des êtres humains ; et celles visant à prévenir le racisme, la xénophobie, les crimes haineux et autres formes d'intolérance qui y sont associées.

De même, les projets destinés aux victimes ou victimes potentielles de la traite des êtres humains et/ou de l'exploitation sexuelle et à leurs descendants peuvent accéder à une aide ; celles destinées aux victimes ou victimes potentielles de violences de genre et à leurs descendants, dans toutes ses manifestations possibles, y compris les mutilations génitales.

Les candidatures pour participer à cet appel doivent être déposées dans un délai de dix jours ouvrables à compter du lendemain de la publication de cet extrait au Journal Officiel de l'État.

En revanche, elle a demandé l'octroi d'une aide d'un montant maximum de 3.818.000,00 euros, qui pourra être cofinancée par le Fonds Asile, Migration et Intégration à hauteur de 90%. Dans ce cas, le but de ces subventions sera la mise en œuvre de projets qui offrent aux ressortissants de pays tiers en situation de vulnérabilité sociale et économique la possibilité de retourner volontairement depuis l'Espagne dans leur pays d'origine pour favoriser leur réintégration, qui est viable et durable.