L’Union rejette la banderole « offensive et sexiste » contre le délégué du Gouvernement
Coïncidant avec la célébration du Conseil des Ministres de l’Agriculture de l’Union Européenne à Bruxelles, un train de tracteurs partira du Ministère de l’Agriculture vers le siège du Bureau de l’Union Européenne à Madrid, qui sera accompagné de nombreux membres de l’UAGR. COAG.
D’autre part, l’Union veut montrer son rejet « de la banderole offensante et sexiste placée hier devant la Délégation Gouvernementale de La Rioja ».
Dans une nouvelle mobilisation appelée à l’unité d’action des organisations agricoles UPA, COAG et ASAJA, des centaines de tracteurs circuleront lundi prochain dans les principales artères du centre de Madrid pour exiger des solutions aux nombreux problèmes du secteur agricole.
Avec pour devise « La campagne exige soutien, respect et reconnaissance », des milliers de personnes, de toute l’Espagne, accompagneront cette caravane de tracteurs qui se rassemblera devant le bâtiment de la Commission européenne, coïncidant avec l’importante réunion du Conseil de l’Agriculture de l’UE. Ministres. Parmi eux, des centaines de membres de l’UAGR-COAG, qui se rendront à la capitale espagnole en bus et en voiture privée.
La campagne espagnole continue de manifester dans tout le pays et c’est désormais au tour de Madrid. Le COAG, l’UPA et l’ASAJA ont choisi la date de lundi prochain, qui coïncidera avec le Conseil des ministres de l’UE qui débattra des moyens possibles pour garantir des réponses rapides et structurelles à la crise actuelle du secteur agricole. Les ministres devront également se prononcer sur l’assouplissement de la PAC (règles de conditionnalité renforcées) et la négociation de clauses miroir, deux dossiers importants et cruciaux dans les revendications des producteurs.
Devant le siège du ministère de l’Agriculture, se trouvent également des réformes essentielles réclamées par le secteur, comme « un changement dans le fonctionnement de la loi sur la chaîne agroalimentaire ; un système d’assurance agricole qui répond aux besoins des producteurs, une fiscalité en fonction de l’augmentation des coûts supportés par le secteur et des investissements urgents dans l’irrigation.