MADRID, 12 décembre (EUROPA PRESS) –
Arriaga Asociados a célébré l'arrêt de la Cour de Justice de l'Union européenne (CJUE) sur la clause de l'indice de référence des prêts hypothécaires (IRPH) où sont précisées une série de conditions pour pouvoir considérer qu'il y a un manque de transparence et abus.
Le cabinet d'avocats souligne, à travers un communiqué, que la résolution est « clairement favorable aux consommateurs », puisqu'elle reconnaît la possibilité que l'IRPH puisse être considérée comme abusive, puisqu'elle précise que « le simple fait d'être un index officiel publié dans le BOE n'est pas suffisant pour estimer la bonne foi de l'entité ou le respect de ses obligations d'information envers le consommateur que, pour l'assimiler au marché, l'indice IRPH devait inclure un différentiel négatif, ainsi que fournir toutes les informations nécessaires à cela il comprenait le conséquences de ce que je signais.
Ainsi, il considère que la Cour européenne a ouvert la voie à sa déclaration abusive et, par conséquent, à la révision « au cas par cas des milliers de clauses hypothécaires qui l'appliquent ».
Désormais, Arriaga Asociados espère que les tribunaux espagnols réexamineront les contrats qui incluent l'IRPH et détermineront si les clauses qui l'appliquent sont abusives.
« La Cour suprême devra revoir sa jurisprudence concernant la présomption de bonne foi des entités, puisque la CJUE estime que dans chaque cas il faudra analyser si le professionnel a fourni des informations suffisantes : comparaison avec d'autres indices de marché, évolutions passées, explication de la méthode de calcul même s'il s'agit d'un indice officiel », affirme le cabinet d'avocats.