BRUXELLES, le 6 septembre (EUROPA PRESS) –
La Commission européenne a proposé ce mercredi de numériser la majorité des processus liés à la sécurité sociale afin d’améliorer les échanges d’informations entre les institutions nationales et d’accélérer les processus de reconnaissance transfrontalière dans le but de réduire la bureaucratie et la « paperasse » et de réduire les difficultés pour les Européens qui vivent, travaillent ou voyager hors de leur pays.
« Tous les citoyens de l’Union européenne ont le droit de voyager, de travailler et de vivre dans un autre pays de l’UE », a déclaré le vice-président économique de la Commission et chef du commerce, Valdis Dombrovskis, qui a toutefois reconnu qu’il existe « une interopérabilité ». des problèmes entre les différents systèmes de sécurité sociale qui rendent difficile l’accès et le partage des données par les autorités nationales.
Dombrovskis a souligné que chaque année, 3,6 millions de demandes de preuve de couverture sociale sont demandées dans des situations transfrontalières, un processus qui « est souvent retardé, car ces procédures dépendent de la présence physique et de documents papier ».
C’est pourquoi Bruxelles a proposé de collaborer avec les États membres pour mettre un terme à tout cela et passer à la numérisation, qui est « la clé pour rendre les systèmes nationaux de sécurité sociale de l’UE plus automatisés, interopérables et intégrés ».
Dans le cadre de ce processus, la Commission propose la création d’un portail numérique unique, garantissant un accès complet en ligne aux principales procédures administratives d’ici la fin de cette année.
Además, para hacer más eficiente el manejo de los casos transfronterizos de seguridad social entre instituciones, el Ejecutivo comunitario quiere que los Estados miembro aceleren la implementación del Sistema de Intercambio Electrónico de Información de Seguridad Social, que reemplaza los intercambios en papel entre instituciones nacionales de sécurité sociale.
« Il devrait être pleinement opérationnel dans toute l’Europe d’ici fin 2024 », a souligné le commissaire, qui souhaite avancer l’introduction du portefeuille numérique européen pour permettre aux citoyens d’avoir sur eux des versions numériques de leurs documents de sécurité sociale.