PALMA, 9 janv. (EUROPA PRESS) –
La présidente du gouvernement, Francina Armengol, a rappelé ce lundi que la limitation des achats aux non-résidents « est une question qui dépend exclusivement de l’Union européenne », bien qu’elle ait reconnu que le logement « est l’un des défis les plus importants en tant que société ».
« C’est une question complexe et elle a besoin de beaucoup d’aide », a souligné le chef de l’exécutif régional dans des déclarations aux médias, qui a souligné que « ceux pris par le gouvernement sont très bien avancés, comme la loi sur le logement ou la politique du logement de protection publique ».
En outre, il a décrit la loi sur le logement de l’État, qui est actuellement en cours de négociation, comme une « grande opportunité ». « Nous espérons que ce sera rapide et que cela nous donnera plus d’outils pour influencer davantage en tant que communauté autonome dans les politiques du logement », a affirmé le président.
Plus en détail, sur la question de « comment rendre l’accès difficile pour certaines personnes, en particulier les non-résidents », Armengol a réitéré que « c’est une question de l’UE », et a fait remarquer que plusieurs questions sont en cours de négociation depuis les îles Baléares qui « intérêt », comme les minimis, le logement ou la conception d’un statut des îles peuplées « pour tenir compte des singularités d’un territoire » comme les Baléares, qui est « petit, insulaire et très peuplé ».
« Dans cette ligne, des stratégies communes sont en cours d’élaboration avec d’autres îles de l’UE pour une approche plus globale. Il existe de nombreuses négociations non autonomes qui doivent couvrir leur champ », a conclu Armengol.