Més par Majorque demande au gouvernement

Palma 29 juillet (Europa Press) –

Més par Majorque a affirmé que le gouvernement central que la paternité permettait avec une rémunération complète était établi en huit semaines, comme l'indique la directive européenne 2019/1158.

C'est l'une des affirmations que la formation économique a formulée, qui a présenté une proposition non-law (PNL) au Parlement pour exiger cette question, comme l'a expliqué Més par Majorque dans un communiqué.

Cependant, ils ont conclu qu'enfin, l'État a commencé à appliquer partiellement cette mesure avec l'approbation de deux semaines payées, bien qu'elle considère qu'il s'agit d'une réalisation « tardive et insuffisante », donc elle revendique un « engagement ferme et immédiat » envers les droits de conciliation.

« Le châtiment de deux semaines est une avance, mais il est entièrement insuffisant. C'est un droit reconnu par une directive européenne qui a été mise en œuvre depuis plus de cinq ans et pour laquelle l'État a un dossier de sanction pour avoir pris une demande tardive », a-t-il déclaré.

Pour ces raisons, le député de Més Marta Carrió a souligné que l'État « ne peut pas reporter la mise en œuvre » totale et complète « des droits des familles de travailleurs ».

La formation affirme que le gouvernement de l'État incorpore la rémunération des huit semaines aux budgets généraux de 2026 et qu'un engagement « clair et structurel » est pris, par conciliation comme « axe de bien-être et de justice sociale ».

De plus, la PNL comprend également l'obligation d'élargir le permis parental à 16 semaines dans le cas de familles uniques, afin de garantir la véritable égalité des opportunités et le droit des enfants de recevoir les mêmes soins, quelle que soit la configuration familiale.

« Vous ne pouvez pas permettre aux enfants ayant moins de droits simplement parce qu'ils ont un parent seul. C'est une question de justice et d'égalité réelle », a fait remarquer Carrió.

La PNL exhorte également le gouvernement à afficher l'article 22 de la loi 3/2025, qui prévoit la création d'un sac d'heures pour faciliter la conciliation au sein des entreprises. « Le gouvernement a les outils juridiques pour agir mais continue sans rien faire. Il est temps de passer du papier aux faits et de garantir des droits efficaces aux citoyens », a conclu le député.