Madrid 26
L'Union européenne (UE) avance dans l'armure des dénominations de la viande contre les imitations sans viande, comme indiqué dans un communiqué ce jeudi à la National Association of Meat Industries of Spain (Anice).
Plus précisément, comme l'a rapporté ladite entité, lundi dernier, les ministres de l'agriculture de l'UE « fortement » « fortement » la Commission européenne « agissent urgemment pour agir » urgence « pour renforcer la protection des dénominations alimentaires de l'origine animale et assurer une étiquette transparente qui évite l'erreur de la viande à la nature et la valeur nutritionnelle des produits de substitut, y compris ceux qui imitent la viande.
La proposition législative, promue par douze États membres – chef, Autriche, Hongrie, Italie et Slovaquie, France, Irlande, Luxembourg, Malte, Portugal, Roumanie et Espagne – a reçu le soutien de six autres pays de l'UE, sans aucune opposition, qui prouve un « consensus large européen » pour effectuer une réglementation plus claire sur les aliments et les dénominations de la viande.
Garantir une transparence maximale dans l'étiquetage
Les ministres ont discuté des préoccupations concernant l'étiquetage des produits de l'usine et l'importance de respecter les normes de marketing actuelles pour garantir une transparence maximale dans l'étiquetage, qui, de l'avis de l'Anice, reflète la volonté de progresser vers une réglementation « la plus claire » sur les confessions alimentaires.
Cette initiative répond à une « affirmation historique » du secteur, motivé par la prolifération sur le marché européen des produits de base de plantes qui imitent l'apparence, le goût, la texture et aussi le nom de l'alimentation de l'origine animale, générant une « confusion croissante » chez les consommateurs.
Given this situation, in order for the clarity of food information to be preserved, the signatory countries have warned that the labeling of these products can « be misleading », especially as regards their composition and their nutritional properties, and have requested to extend the protection that already exists in the dairy sector to the rest of animal products, insisting on the need for a uniform regulation at the EU level, to guarantee regulatory coherence and protect regulatory cohérence et protéger la cohérence réglementaire et protéger la cohérence réglementaire auprès des consommateurs.
Proposition législative
En ce sens, le commissaire à l'agriculture de la Commission européenne, Christophe Hansen, a exprimé sa volonté de répondre à cette demande dans le contexte de la prochaine revue de la réglementation de l'organisation du marché commune (OCM), sous la prémisse de trouver un « équilibre équitable » entre la protection des consommateurs et la reconnaissance du travail du secteur Agri-Food, avec la promesse de l'acting avec la rigueur et la proportionnalité, le secteur des aliments solides.
Ainsi, à partir de l'anice, ils se réjouissent de «l'optimisme et la satisfaction» de l'annonce de cette proposition législative, qui représente une étape importante vers la fin de la «création induelle» des dénominations de la viande par les produits végétaux, une pratique qui a contribué à la confusion du consommateur.
Avec cet objectif, Anice, avec Anfaco-Cecopesca (Organisation du complexe Mar-industria), Avianza (Association interprofessionnelle espagnole de la viande de volaille) et Cedecarne ont rejoint en 2024 sous l'initiative « tout par son nom '' pour revendiquer la protection des dénominations alimentaires des protéines animales.
L'association célèbre, en outre que l'Espagne a rejoint cette action collective, qui représente «l'engagement conjoint» pour une réglementation claire et une application cohérente tout au long de l'UE pour défendre le consommateur et le respect envers le secteur de la viande. Le directeur général d'Anice, Giuseppe Aloisio, a souligné que « le moment est venu de mettre fin à l'hypocrisie et à la tromperie aux consommateurs et que tout est appelé par son nom ».
« Il est temps de protéger et de protéger les travaux du secteur européen de bétail et de définir clairement que les ultraproces de légumes ne peuvent pas s'approprier ce qui ne correspond pas à eux », a conclu Aloisio.