Bruxelles le 19 mai. (Press Europa) –
Les négociateurs du Parlement européen et du Conseil (gouvernements) ont conclu lundi l'accord qui permettra aux pays les plus en retard tels que l'Allemagne ou les Pays-Bas introduisant progressivement le nouveau système de frontières intelligentes dans les six mois depuis son entrée en vigueur, encore à définir.
Initialement, ce mécanisme qui permet l'enregistrement automatisé de l'adoption des personnes doit avoir été mis en œuvre dans tous les pays de l'UE depuis novembre de l'année dernière, mais a été stationné sans date pour le manque de préparation de plusieurs partenaires.
Le nouveau système permettra l'enregistrement automatisé des données des passeports, les empreintes digitales et les images faciales des ressortissants des pays tiers qui voyagent à travers l'UE en bref séjour, qui en pratique offrira aux autorités un accès réel-temps aux données personnelles et à l'historique des voyages de ces personnes à détecter, par exemple, si elle dépasse le temps de séjour autorisé ou si vous utilisez une fausse documentation.
Le règlement ne prévoyait qu'une demande de bloc dans tous les états membres du système d'entrée et de sortie (EES), il a donc été nécessaire de négocier une réforme qui rend les règles plus flexibles et permettent une entrée « progressive » en vigueur.
La première étape de la modification s'est produite en octobre, lorsque les 27 ont accepté le changement de calendrier après avoir vérifié que la France, l'Allemagne et les Pays-Bas, qui représentent environ 40% du transit du trafic dans toute l'UE, n'étaient pas prêts à lancer le système dans tous ses points de bordure, comme le reste des pays membres.
En outre, l'évaluation de l'Agence européenne pour la gestion opérationnelle de la grande ampleur (UE-LISA) a ensuite été averti qu'elle abritait des doutes sur la « résilience » du système, ce qui a renforcé l'idée d'une introduction progressive et « en parallèle avec l'ancien système » pour « éviter les risques si quelque chose ne fonctionne pas comme et comment il a été prévu ».
Les modifications, qui ont encore besoin de l'approbation formelle de l'Eurocamara et des vingt-sept, permettra donc une entrée « progressive » des laggards mais dans une période maximale de « six mois » car il commence le déploiement du nouveau record automatisé de la frontière externe de l'UE.
Avec la modification, les pays qui n'ont pas tout prêt pour leur entrée en vigueur peuvent commencer par enregistrer un minimum de 10% des passages frontaliers au cours du premier mois et au cours des 60 premiers jours de l'application EES, ils peuvent l'utiliser sans collecter de données biométriques auprès des voyageurs.
Après les trois premiers mois, les pays devront collecter toutes les données, y compris biométriques, au moins 35% de leurs points frontaliers, et l'ensemble des vingt-sept devront appliquer pleinement le dossier après les six premiers mois d'adaptation de son entrée en vigueur, bien qu'il y ait maintenant Bruxelles présente une nouvelle proposition à ce jour cette application graduelle.