Bruxelles le 7 mai. (Appuyez sur Europa) –
La plénière du Parlement européen a réclamé mercredi un investissement plus important pour renforcer la défense et la compétitivité du bloc, mais demande de le faire sans compromettre les dépenses sociales et environnementales nécessaires des programmes actuels dans le prochain budget à long terme de l'UE pour la période 2028-2034.
Ceci est indiqué par la résolution approuvée ce mercredi par 317 votes en faveur, 206 contre et 123 abstentions dans les MEPS exigent un cadre financier mulannuel (MFP) qui répond à celui actuel un moment d'instabilité mondiale.
Le texte décrit la vision du Parlement européen pour le prochain cadre financier mulannuel (MFP) et met en évidence la nécessité d'un « beaucoup plus ambitieux » et « et » capable de satisfaire les attentes croissantes des citoyens de l'UE dans un contexte mondial dans une évolution rapide. «
En ce sens, les MEP ont souligné que la limite de dépenses actuelle de 1% du revenu national brut (RNB) des vingt-sept « ne suffit pas pour remédier au nombre croissant de crises et de défis », tout en rejetant l'intention de la Commission européenne de reproduire le « plan national de l'État membre » utilisé dans les plans de récupération pour les dépenses après 2027.
Au lieu de cela, ils exigent une structure qui garantit la transparence et la responsabilité parlementaire et implique les autorités régionales et locales et tous les acteurs concernés.
Ils ont également demandé à empêcher le remboursement des coûts de financement du Fonds anti-crise en danger de financement des priorités clés de l'UE et nécessitent une séparation claire entre le remboursement des coûts de financement et les expansions aux programmes, donc ils exhortent les capitales à adopter de nouvelles sources de revenu réel.
« Nous voulons un budget qui reflète mieux les nouvelles priorités de l'UE, telles que la compétitivité et la défense, tout en protégeant les priorités traditionnelles, telles que l'agriculture et la cohésion. Par conséquent, nous exigeons une augmentation responsable et justifiée du prochain MFP, dépassant la limite auto-imposée de 1% de la RNB et nous rejetons le modèle de la Commission de l'État national ». Muresan, l'un des orateurs du rapport.
D'un autre côté, la MEP socialiste Carla Tavares, également conférencière, a souligné que « un budget ambitieux doit promouvoir la cohésion sociale et territoriale, inclure de nouvelles sources de revenus modernisées et garantir un financement suffisant pour la sécurité, la défense et la préparation en tant que pilier pour garantir les sociétés équitables et prospères, tout en défendant la règle et les valeurs fondamentales de l'UE ».