L'Eurocamara adopte l'approbation des prêts pour la défense pour rester en dehors du processus

Bruxelles 20 août (Europa Press) –

Le Parlement européen a réclamé mercredi à la Cour de justice de l'Union européenne (tjue) l'annulation du plan de prêt pour la défense, connue sous le nom de sécurité et dotée de 150 000 millions d'euros, faisant valoir qu'il a été approuvé en quittant l'Eurocamara, qui défend qu'il doit être adopté sur la base juridique appropriée.

Comme confirmé à Europa Press, le service de presse de l'institution, ce mercredi, l'Eurocamara a pris la mesure du fait de prendre le fonds européen contre le TJue pour procéder à son annulation, à la suite de la recommandation de la Commission des affaires juridiques du Parlement européen.

En tout cas, il demande en même temps que les effets du règlement soient maintenus jusqu'à ce qu'il soit remplacé par un nouvel acte adopté sur la base juridique appropriée, afin que ce processus juridique n'entrave pas la mise en œuvre du fonds et le déploiement des prêts pour renforcer les armées européennes.

Le Parlement européen met l'accent sur l'article 122, la méthode d'urgence suivie dans ce cas afin que le Conseil, à la proposition de la Commission, décide des mesures appropriées en matière économique dans des situations graves, un domaine que le traité limite la fourniture de certains produits, en particulier dans le domaine de l'énergie ou dans la réponse aux catastrophes.

Cette procédure a été utilisée à différentes occasions par la Commission et le Conseil pour répondre à la crise du coronavirus et à la situation énergétique créée après l'invasion russe de l'Ukraine, dans une manœuvre qui ignore le Parlement européen.

Pour Eurocamara, la procédure suivie pour l'adoption de la sécurité était incorrecte et inutile, car elle sape la légitimité démocratique en n'ayant pas le Parlement européen, un organe de collège de l'UE au Conseil. En tout cas, la plainte avant le TJUE ne décrit pas le déploiement des fonds, que 18 États membres, y compris l'Espagne, ont déjà demandé la Commission européenne, par une valeur totale de 127 000 millions d'euros.