Les ONG transfèrent à Albares la « multiplication » des difficultés dans leur travail humanitaire à Gaza

Madrid 25 février (Europa Press) –

Les ONG travaillant en Palestine ont été transférées au ministre des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la coopération, José Manuel Albares, leurs préoccupations concernant la « multiplication » des difficultés à fournir une assistance humanitaire à Gaza, après que la trêve a convenu le 19 janvier.

Lors d'une réunion tenue mardi au siège de l'ÉCID, les organisations opérant sur le territoire palestinien ont dénoncé les « blocages routiers, déni des permis et obstacles à leur travail » en Palestine, signalant également des cas répétés d'intimidation et de violence.

Au cours du sommet, dans lequel le secrétaire d'État à la coopération internationale, Eva Granados, et le directeur de l'AECide, Antón Leis, ont également participé, les ONG ont également déploré les « obstacles bureaucratiques » auxquels ils sont généralement confrontés et ont transmis aux Ministre le sentiment de «criminalisation» envers le secteur humanitaire des États-Unis et d'une manière «croissante» d'Europe.

En outre, les organisations ont reproché le gouvernement pour le commerce présumé d'armes avec Israël, exigeant « sa fin immédiate » et une plus grande « transparence » dans de telles relations.

D'un autre côté, les ONG présents à cette troisième réunion bilatérale ont « très positivement » évalué l'interlocution constante des albares et les mesures prises par le gouvernement, bien qu'ils croient qu'ils sont « insuffisants ».

Albares apprécie le travail des ONG

Au sommet, dont l'objectif a été de résoudre les problèmes de ces organisations dans le domaine, le ministre Albares a remercié les ONG avec son travail « indispensable » dans la réponse humanitaire.

En outre, il a réitéré l'engagement de la coopération espagnole pour trouver une solution pacifique au conflit, en se rappelant que la Palestine est le principal bénéficiaire de ses fonds dans la région, avec plus de 50 millions d'euros depuis le début du conflit à une aide humanitaire et à des projets de développement .

Le ministre a apprécié cette coopération en tant que travail fondamental pour garantir un futur «État palestinien souverain, indépendant, économiquement durable et respectueux des droits de l'homme».