Bruxelles 19 mars (Europa Press) –
Les chefs d'État et le gouvernement de l'Union européenne se poursuivront ce jeudi lors d'un sommet européen sur le débat sur la façon de tirer les dépenses de défense, dans lesquelles il sera la première fois qu'ils auront sur la table les propositions de la Commission européenne pour faciliter les investissements et lorsque la Russie et les États-Unis ont accepté une trêve partielle de cesser les attaques contre l'infrastructure énergétique.
Sur la table sera pour la première fois le «Livre blanc» de la défense, le guide avec lequel la Commission européenne souhaite diriger les dépenses militaires au sein de l'UE, avant le scénario géopolitique changeant marqué par l'agression russe en Ukraine et la constatation que Moscou continuera d'être une menace à l'avenir.
Le plan de Bruxelles continue d'encourager les achats conjoints de matériel militaire européen, tout en augmentant les dépenses militaires, l'UE développe sa base industrielle. De même, Bruxelles a proposé de mener des achats conjoints d'armes pour l'ensemble de l'UE, tout en conditionnant le plan de prêt de 150 000 millions à l'achat de documents militaires avec 65% des composants européens et blindé à des restrictions sur son déploiement et son utilisation, des conditions avec lesquelles l'UE isole pour le moment de l'industrie américaine.
Dans le cadre du plan pour augmenter les dépenses, Bruxelles étudiera, notamment la protection des frontières dans la définition des dépenses de défense telles que l'Espagne qui demande également des investissements dans la cybersécurité et les infrastructures critiques.
Dans tous les cas, le «Livre blanc» n'inclut pas de nouvelles formes de financement direct pour la défense et laisse entre les mains des États membres pour augmenter les dépenses, limitant au moment où l'exécutif européen pour faciliter que les règles fiscales des quatre prochaines années sont faites pour se détendre.
Les progrès concrets ne sont pas attendus dans les initiatives pour soutenir l'Ukraine, car le plan de 40 000 millions d'euros proposé par le haut représentant de l'UE, Kaja Kallas, ne conclut pas le soutien nécessaire entre les États membres pour la réticence de la France, de l'Italie et de l'Espagne.
L'UE suivra 26 pour les récipients de la Hongrie sur l'Ukraine
Le sommet est tenu en pleine approche des États-Unis et de la Russie, après l'accord entre le président russe, Vladimir Poutine, et le président américain, Donald Trump, pour un incendie partiel élevé en ce qui concerne les infrastructures énergétiques en Ukraine, un pacte que l'UE s'attend à être un premier pas dans la direction d'une paix équitable et durable.
Dans ce contexte, les États membres prévoient réaffirmer la stratégie de soutien à Kiev, à l'exception de la Hongrie auxquelles les autres partenaires européens espèrent surmonter pour sceller les conclusions qui consolident la position de l'UE, disposée à continuer à aider l'Ukraine militairement et à renforcer les sanctions contre le Kremlin.
« Il ne fait aucun doute qu'il y a des différences avec un État membre et si la divergence structurelle est maintenue, nous continuerons à passer à 26 », a expliqué une position élevée de l'UE. Malgré tout, le président du Conseil européen, Antonio Costa, a insisté sur le fait que l'UE maintiendra le cours dans son soutien à l'Ukraine.
« Nous continuerons de le faire maintenant, dans les négociations futures et, surtout, en temps de paix, lorsque l'Ukraine deviendra un État membre de l'Union européenne », a déclaré mercredi lors d'une conférence de presse.
Dénoncer l'offensive israélienne contre Gaza
La réunion des dirigeants européens sera également marquée par la rupture de l'Alto El Fuego dans la bande de Gaza après les attentats israéliens. La nomination est prévue que les dirigeants de l'Espagne et de l'Irlande dirigent les messages de critique de Tel Aviv et que les conclusions partent par écrit de la plainte de l'UE à l'attaque qui a fait des centaines de morts et a brisé le feu élevé en janvier dernier.
L'armée israélienne a redémarré mardi ses attentats contre la bande, laissant jusqu'à 430 morts et des centaines de blessés, brisant ainsi le feu élevé avec le mouvement de résistance islamique (Hamas), que l'UE exigera la libération de tous les otages et insistera pour qu'il revienne à la table de négociation pour stabiliser la bande.
Outre ces questions, les dirigeants maintiendront un déjeuner de travail avec le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, avec lequel ils aborderont le renforcement de l'ordre multilatéral et maintiendront les discussions sur le renforcement de leur compétitivité et l'amélioration de l'autonomie stratégique et de la résilience de l'Europe.
De même, ils lanceront le débat sur le prochain cadre financier mulannuel (MFF), qui devrait être fermé l'année prochaine et discutera des questions de compétitivité et de marché des capitaux, avec la présence du président de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde, et le président de l'Eurogroup, Pascal Donohoe.