Pontevedra 24 juin (Europa Press) –
Les confréries des pêcheurs dans la province de Pontevedra ont montré leur rejet « total » des mesures de contrôle fixées par l'UE du 10 janvier 2026, qui s'identifient à « Atosigate » à la flotte artisanale dans la réforme de la réglementation de la politique de pêche.
Plus précisément, ils censurent que les pêcheries entre 12 et 15 mètres de longueur qui sont abattues dans le National Caladero, et qu'ils ne passent pas plus de 24 heures en mer, auront l'obligation d'avoir un système de géolocalisation satellite installée (Blue Box) à partir de janvier 2026. De plus, depuis janvier 2028, les navires de moins de 12 mètres auront besoin d'un système de non-fixe qui permet à son emplacement.
Ils soulignent que «peu importe» que le ministère des Pêches accordera l'aide à l'installation de ces équipements et «sans maintenir l'entretien pendant sa vie utile», la Fédération provinciale de Confrarías de Pontevedra charge contre cette «imposition de l'UE et appuyée par le gouvernement d'Espagne».
« Vous ne pouvez que protester et vous opposer publiquement à la discrimination continue et à la persécution que le secteur de la pêche souffre », dénoncent mardi dans un communiqué.
La Frère de Pontevedra prévient que toutes ces mesures qui se plongent dans la « bureaucratie » cherchent à « démanteler » les activités traditionnelles de la pêche et des crustacés, tout en accusant les administrations de lancer le « renflement » qu'ils recherchent un soulagement générationnel.