Madrid 31. (Europa Press) –
La Commission de la pêche au Sénat approchera mercredi prochain une initiative du PP qui exhorte le gouvernement de Pedro Sánchez à « défendre » le secteur de la pêche méditerranéen et à critiquer les mesures établies par l'Union européenne en « provoquant la substanciation de l'activité et son risque imminent de disparition ».
Ce mouvement de l'initiative «populaire» non contraignante – prétend à l'exécutif de Sánchez de réaliser un plan de gestion pour le secteur de la pêche qui évalue ses ressources afin de «rechercher la durabilité du secteur», mettant en évidence les cas de pêche à la traînée et la capture de la gamba rouge de la Méditerranée.
Dans le texte, que Europa Press a eu accès, l'accent est mis sur «l'étranglement» du secteur, qui a déjà dénoncé que l'UE rapporte que «manque de transparence et ne coïncide pas avec la réalité». Il souligne également la proposition de la Commission européenne de réduire les jours de pêche « 66% » d'ici 2025.
Le 11 décembre, la réunion entre la Commission et les ministres des pêches des pays de l'UE a convenu d'un mécanisme de rémunération pour amortir, en partie, la réduction de la traînée, qui permet de récupérer les jours d'activité lorsque certaines mesures environnementales de nature cumulative sont remplies.
Pour sa part, le mouvement demande d'étendre le réseau de scientifiques et de membres du secteur de la pêche, impliquant des universités et des centres de recherche, pour étudier la situation de l'industrie en Méditerranée.
Dans l'exposition des raisons, il est critiqué que l'UE « ne rend pas publique les conclusions du plan de pêche plurianal » et qu'il n'y a pas de données pour recevoir les coupes.
En outre, le gouvernement est invité à contribuer aux négociations avec les rapports de l'UE « qui démontrent l'importance sociale et économique élevée du secteur de la pêche en Méditerranée », soulignant que la pêche est une activité non seulement économique, mais « une partie fondamentale de la culture et des traditions des peuples méditerranéens ».
Cette critique, selon la motion, est basée sur le fait que les mesures de Bruxelles n'atteignent pas l'équilibre « social », « environnemental » ou « environnemental » dans l'industrie de la pêche de la côte espagnole en Méditerranée.
Enfin, le gouvernement est insisté pour diriger, dans le cadre de l'UE, les négociations avec les pays africains méditerranéens afin que les mesures de durabilité soient appliquées conjointement.