La Commission lance un appel d’offres d’un montant de 140 000 euros pour un contrat de restauration des zones humides de Veta La Palma, cofinancé à 98 % par l’UE.

SÉVILLE, 1er octobre (EUROPA PRESS) –

L’Agence de l’Environnement et de l’Eau d’Andalousie (Amaya) a lancé un appel d’offres avec un budget de base de 140 167,26 euros (115 840,71 sans TVA) pour entreprendre des travaux de restauration et d’aménagement des zones humides de la Finca Veta La Palma, située dans la commune de La Puebla del Río, Aznalcázar et Lebrija (Séville), même si les travaux seront réalisés dans la zone de La Puebla del Río, comme décrit dans le projet d’action.

Dans le projet de travail, signé par l’ingénieur de Montes Alejandro Briceño, il est indiqué que « tous les terrains soumis à l’action sont de propriété publique et délimités comme domaine public maritime-terrestre ».

Il s’agit d’un projet avec un cofinancement européen à 98%, qui fait partie du projet Life Grey Teal, un oiseau décrit dans la documentation ci-jointe comme « une espèce en danger d’extinction », selon le Catalogue andalou des espèces menacées.

La Finca Veta La Palma est devenue d’actualité puisque le 12 de ce mois, le président de la Junta de Andalucía, Juanma Moreno, a annoncé l’intention du gouvernement régional d’acheter 7 500 hectares de cet espace, dont la moitié inondables, afin de agrandir la superficie du parc national de Doñana, qui, selon les calculs proposés par le gouvernement andalou, augmenterait de 14 %. La superficie totale de la ferme est de 11 027,15 hectares.

En plus de la Sarcelle grise, Veta La Palma est également l’habitat d’une autre espèce menacée comme la Foulque maure, dont il conclut que toutes deux « bénéficieront de manière significative de la restauration de cette zone humide ».

Les objectifs, comme expliqué dans la documentation ci-jointe, consultée par Europa Press, sont « d’améliorer l’état de conservation de la zone humide située dans la zone sud de la Finca Veta La Palma, à travers le nettoyage et l’adaptation de l’étang B9 et le réseau hydraulique qui s’alimente dans l’idée de créer un habitat adéquat pour la reproduction et le maintien de la Sarcelle grise ».

Pour répondre à cette aspiration, « des travaux seront réalisés pour restaurer les étangs et adapter les canaux pour assurer la gestion de l’eau », auxquels il est ajouté qu’« avec les matériaux enlevés lors du creusement des canaux, des îles seront construites dans les étangs et les brise-lames.  » sur ses marges » et que cette opération « favorisera le développement de la végétation indigène sur les îlots ».

Un autre travail sera « la construction, dans le quadrant ouest de la ferme, sur le périmètre ouest de l’étang A4, d’un espace d’environ 35 hectares pour l’élevage exclusif de cette espèce (Sarcelle Pardilla) », pour lequel « protéger le périmètre de la zone de reproduction en utilisant un enclos à haute résistance pour éviter la pression des ongulés.

Dans l’explication de l’action, il est avancé qu’« en collaboration avec la ferme, la présence du bétail dans la clôture sera réglementée entre les mois d’avril et juillet » et qu’avec cela « une zone de réserve serait créée pour la sarcelle grise pendant la saison hivernale. » l’élevage ».

Le résumé des travaux, dans la zone humide de Veta La Palma et dans le bassin B9, sont des travaux de terrassement tels que : actions sur les canaux, les rênes et le radeau ; nettoyer le canal d’irrigation; placement des portes ; nettoyage des canaux périmétriques et des canaux de drainage ; actions dans les zones de peuplement (anciennes zones de reproduction) ; et brochets creusant sur le radeau B9.

En outre, il y aura des travaux hydrauliques tels que la pose de canalisations pour alimenter le canal d’irrigation ; travaux de passage du canal dans les secteurs nord et sud; actions de clôture dans les zones de reproduction de la Sarcelle grise.

Une fois les travaux prévus terminés, il est conclu qu’« ils couvrent les objectifs proposés dans la Vie », puisqu’ils envisagent « d’améliorer la zone humide existante, dans la zone sud du bien » en « adaptant le terrain par des terrassements peu profonds à nettoyer et faciliter l’entrée de l’eau », ce à quoi il ajoute « favoriser la régénération de l’espèce et la protéger par des clôtures dans la zone nord-ouest ».

TRAVAUX D’UNE DURÉE DE 120 JOURS

Ce marché de travaux a une durée de 120 jours. La date limite de dépôt des offres expire le 10 octobre à 12h00. Les soumissionnaires sont tenus de maintenir leur offre pendant une durée de six mois, telle que précisée sur le site Internet.

Le marché n’est pas divisé en lots, comme l’explique la documentation publiée sur la plateforme contractuelle de la Junta de Andalucía. Cette possibilité est exclue en arguant que « ce ne serait pas pratique » en arguant que dans ce cas « cela entraînerait une exécution difficile du contrat d’un point de vue technique » car cela entraînerait « l’uniformité et l’homogénéité de son exécution ». être perdu. »