Forética collabore avec AECID et CentraRSE au Guatemala pour promouvoir l’action des entreprises en matière de droits humains

MADRID, 2 sept. (EUROPA PRESS) –

Forética collabore au Guatemala, avec CentraRSE et l’Agence espagnole pour la coopération internationale au développement (AECID) du ministère des Affaires étrangères, de l’Union européenne et de la Coopération, pour promouvoir l’action des entreprises dans le domaine des droits de l’homme.

Ainsi, elle participe au forum ‘Entreprises et Droits de l’Homme’, à travers des ateliers ayant pour objectif d’aborder l’importance pour les entreprises de mettre en œuvre les Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux Entreprises et aux Droits de l’Homme.

Ces ateliers font partie du « Cadre de référence national pour les entreprises et les droits de l’homme en réponse à la crise sociale et économique due au COVID-19 au Guatemala », qui vise à contribuer à la mise en œuvre des Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme dans le pays.

Plus précisément, il vise à fournir des connaissances, des références et des instruments internationaux à la phase actuelle de développement d’un plan d’action national sur les entreprises et les droits de l’homme pour le Guatemala, dirigé par la Commission présidentielle pour la paix et les droits de l’homme (COPADEH), comme cela a déjà été réalisé par plusieurs pays au niveau mondial et régional.

« Dans le contexte actuel, l’action des entreprises qui contribue à une reprise durable et inclusive est plus pertinente que jamais. Il est essentiel que les entreprises s’engagent dans une gestion efficace de leurs impacts sur les droits humains, tant dans leur activité que dans leurs produits et services. et à travers sa chaîne de valeur. Dans les années à venir, des avancées importantes sont attendues dans ce domaine, ce qui permettra sans aucun doute aux entreprises de renforcer leur rôle en matière de droits de l’homme », a déclaré le directeur général de Forética, Germán Granda.

Les sessions ont porté sur l’élargissement de l’information sur le rôle des entreprises et leur importance dans la défense des droits de l’homme et l’analyse de cas pratiques de la façon dont d’autres pays abordent cette question (du point de vue du secteur public, dans la préparation des plans nationaux), comment d’autres entreprises mettent en œuvre des mécanismes de diligence raisonnable (dans des ateliers avec le secteur privé) et quelle dynamique réglementaire existe-t-il en Europe en matière de diligence raisonnable des entreprises (avec la proposition d’une nouvelle directive).