MADRID, 26 novembre (EUROPA PRESS) –
Le ministre des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération, José Manuel Albares, a salué mardi que le principe d'un accord de cessez-le-feu pour la cessation des hostilités entre l'armée israélienne et la milice chiite libanaise Hezbollah est un « bonne nouvelle pour la paix et la sécurité ».
Dans un message sur les réseaux sociaux, le ministre a insisté sur le fait que désormais « Il faut avancer dans l'application de la résolution 1701 » du Conseil de sécurité des Nations Unies.
« L'Espagne s'engage en faveur de la FINUL, de la désescalade régionale et d'un horizon d'espoir et de paix pour tous au Moyen-Orient »a écrit le chef de la diplomatie espagnole dans X.
Dans une déclaration ultérieure, le Gouvernement a indiqué que l'annonce d'un accord de cessez-le-feu de 60 jours était un « condition indispensable pour faire face à la situation humanitaire au Liban » et procéder à « la demande complète » de la résolution 1701.
Dans ce sens, les Affaires étrangères ont indiqué que l'Espagne maintient son engagement en faveur de la stabilité régionale à travers sa contribution à la FINUL et « soutiendra les efforts de désescalade pour permettre le retour des personnes déplacées dans leurs foyers des deux côtés de la Ligne bleue et progresser vers une solution politique au conflit ».
« Le cessez-le-feu à Gaza, qui permet l'entrée d'une aide humanitaire à grande échelle et la libération des otages, reste la clé de la désescalade régionale »a souligné le ministère des Affaires étrangères, qui a insisté sur le fait que « seulement la mise en œuvre de la solution à deux États »en Israël et en Palestine, « permettra de jeter les bases d’une paix juste et durable dans la région ».
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a confirmé un accord de principe de cessez-le-feu pour la cessation des hostilités entre l'armée israélienne et la milice chiite libanaise Hezbollah, qui depuis plus d'un an échange des attaques d'un côté et de l'autre de la part du Hezbollah. frontière dans le contexte de la guerre au Moyen-Orient.