CCOO et UGT demandent à Escriva une réunion urgente pour finaliser les questions en suspens de l’accord-cadre

Ils demandent d’aborder la retraite partielle, la mise en place des 35 heures et le télétravail, entre autres questions.

Les Commissions ouvrières (CCOO) et l’Union générale des travailleurs (UGT) ont demandé au ministre de la Transformation numérique et de la Fonction publique, José Luis Escriva, une réunion urgente pour finaliser les aspects en suspens de l’Accord-cadre pour une administration du XXIe siècle et du Plan. de relance, de transformation et de résilience engagé par le gouvernement auprès de l’Union européenne.

Dans un communiqué, l’Espace Public de CCOO et UGT Services Publics a insisté sur l’urgence de convoquer la commission de suivi de l’Accord pour aborder, au-delà des aspects de rémunération, des questions convenues telles que la retraite partielle des fonctionnaires et du personnel statutaire, le minimum la nature des permis et des vacances, la carrière professionnelle, la mise en place des 35 heures et le télétravail dans le domaine de l’Administration de l’Etat.

En outre, ils ont souligné la nécessité d’aborder d’autres domaines tels que la mise en œuvre du groupe B et l’adaptation du cadre espagnol au cadre européen des qualifications de la nouvelle grille de classification professionnelle, entre autres.

De même, l’UGT et le CCOO ont insisté sur la convocation du comité de suivi du plan de choc pour accélérer la résolution des processus de stabilisation, ainsi que sur la nécessité de continuer sur la voie de la récupération de l’emploi public et du rajeunissement des modèles pour répondre aux la situation grave de leur vieillissement, les revendications historiques des deux syndicats.

« La finalisation de l’Accord-cadre est essentielle pour la reconnaissance et le professionnalisme des fonctionnaires, ainsi que pour le bon fonctionnement des services publics dans notre pays », ont souligné les deux syndicats.