Bruxelles propose des étiquettes numériques sur les engrais pour économiser 57.000 euros par an et par entreprise

BRUXELLES, le 27 février (EUROPA PRESS) –

La Commission européenne a proposé ce lundi l’étiquetage numérique volontaire des produits fertilisants de l’Union européenne (UE) pour faciliter l’accès des utilisateurs à l’information tout en simplifiant les procédures, ce qui permettrait une réduction des coûts estimée jusqu’à 57 000 euros par an pour un grande entreprise et 4 500 pour les petites et moyennes entreprises (PME).

Dans l’UE, l’étiquetage numérique est déjà utilisé pour certains produits contenant des produits chimiques, tels que les piles, tandis que des normes d’étiquetage numérique sont envisagées pour d’autres, tels que les détergents, les cosmétiques et les produits chimiques.

Ahora, también los proveedores de productos fertilizantes que cumplan las normas sanitarias, de seguridad y medioambientales de la UE (con marcado CE) podrán facilitar información en una etiqueta digital con el objetivo de informar mejor a los usuarios y conseguir un uso más eficiente de los Abonnements.

L’étiquetage numérique sera volontaire, ce qui signifie que les fournisseurs et les détaillants pourront choisir comment communiquer les informations de l’étiquette, que ce soit dans un format physique, un format numérique ou une combinaison des deux.

Les produits vendus dans des conteneurs aux agriculteurs et autres consommateurs d’engrais continueront d’avoir les informations les plus importantes sur une étiquette physique, telles que la sécurité pour la santé humaine et l’environnement, en plus de l’étiquette numérique.

Cette proposition a été transmise au Parlement européen et au Conseil et, une fois adoptées, les nouvelles règles s’appliqueront deux ans et demi après leur adoption pour permettre de décider des normes techniques entre-temps.